Les ventes éphémères de plantes qui agacent les fleuristes
Vous pouvez me retrouver dans l’article du jour, publié par la Dépêche, à propos des locaux commerciaux temporaires utilisés pour les ventes éphémères de plantes au centre-ville.
Comme je l’explique : « un local commercial temporaire déclaré, n’a rien d’illégal. Vendre à bas coût a toujours existé même s’il est interdit de vendre à perte sauf en période de solde. En fait le droit de la concurrence, dicté par l’Europe et la loi, impose d’avoir une concurrence loyale ».
Ces locaux sont utilisés depuis quelques années par des fleuristes éphémères qui proposent de vendre des plantes à bas coût et ne paient donc pas de charges ou encore n’ont pas de personnel permanent.
Cela ennuie fortement certains professionnels du secteur, qui dénoncent cette pratique, car eux font face à des difficultés, notamment à cause des confinements ou encore des manifestations en centre-ville et qui, malgré ces évènements, doivent continuer d’assurer leurs charges et les salaires de leurs employés.
La question sous-jacente porte en réalité sur l’adaptation du statut des baux commerciaux face à l’évolution de la société et du commerce depuis un an !
Je répondrais à cette interrogation dans une prochaine publication.